Cette petite maison d’apparence en brique cache une autre façade (côté cimetière) entièrement en colombage.
Les deux pignons sont également en colombage mais leur mauvais état à justifié la pose de bardeaux en châtaignier du meilleur effet.
Dans le passé, une partie était un logement d’habitation ; les anciens se souviennent que le temps de travaux à l’école elle devint salle de classe.
C’est d’ailleurs à l’occasion d’un déménagement en Septembre 1951 que le jeune Alain MOREL âgé de 13 ans devait perdre la vie, mortellement blessé par l’explosion d’une caisse piégée, vestige de la guerre.
Le 17 Mars 1967, le Ministre des anciens combattants et victimes de guerre décide que vu les circonstances de son décès, la mention « Mort pour la France » doit être inscrite sur son acte de décès.
Une plaque rappelant ce triste événement est apposée sur la Mairie